REPRESENTATION DU PARANORMAL ET DE LA TELEPATHIE DANS LE CHAMP PSYCHANALYTIQUE (suite)

Marie-Christine Combourieu – 1985

c/ Conclusions sur la catégorisation

Au terme de la catégorisation de notre échantillonnage et des réflexions qu'elle suscite, nous dirons que l’ordre adopté ici reflète la hié­rarchisation traditionnellement admise dans/par l'institution psychanalytique.

Les séries A et B, auxquelles s'ajoutent les entretiens C et D, repré­sentent , en effet, l'ensemble plus vaste des Ecoles freudo-lacaniennes.

Nous partons, en effet, de l'Institut comme formation représentative de la doctrine orthodoxe de Freud (nous avons souligné, cependant, des contradictions dans les discours tenus) pour élargir ensuite par cercles concentriques à des Écoles qui, tout en se référant à Freud, "innovent" par rapport à la doctrine stricte (séries B, F,H), si l'on considère que les pères fondateurs - à leur tour - de ces formations furent des disciples/ "relecteurs" de Freud à divers degrés (Jung, Reich et, bien sûr, Lacan). Toutefois, les théories et les techniques s'éloignent parfois de la docrine fondatrice au point de paraître tout à fait originales, ne conservant que l'aspect extérieur du "protocole très similaire", comme dans le cas de (I,2).


 

1/ Le premier point remarquable, donc, est l'absence d'unicité des systèmes de représentations se référant à une doctrine identique au sein d'un même groupe dont le nom, dès lors, comme entité représentative, sert d'unifica­tion à des opinions divergentes, voire contradictoires (série A).

·         La Société Française de Psychanalyse - l'Institut - demeure, d'un point de vue représentatif, "la" référence valorisée/valorisante : "Certains changent de voie... Par exemple, une personne assez fermée, un jour, lors d'un travail de groupe, à une question s'est déclarée "non autorisée à népondre". Elle m'a téléphoné par la suite pour me dire qu'elle avait été acceptée à l'Institut de Psychanalyse. Qu'elle ne viendrait plus. Elle at­tendait cette tant attendue reconnaissance! . C'est comme ça sans arrêt. Je vous donne un aperçu", dit (E2,26).

·         Inversement, l'éclatement d'un groupe-"père" (si l'on peut dire), ne porte pas atteinte à l'homogénéité des doctrines, voire des systèmes de représentations allégués dans notre échantillonnage (série B ; sauf B2 qui présente un exemple de "changement de voie" et est moins lacanienne présentement ; elle se tourne vers les kleiniens B2, 3).

2/ Au sein des formations dissidentes et/ou hétérodoxes, telles les Ecoles jungienne et reichienne, le même phénomène se reproduit : Nous assistons à des divergences d'opinions, même d'orientation, par rapport à la théorie initiale(entretiens H1 et H2).

En revanche, la dissidence n'est qu'apparente entre les Ecoles jungienne de Zurich et de Paris (F1 et F2, par exemple).

3/ Nous avons vu qu'une ouverture du champ d'exploration psychanalytique se faisait jour très certainement par le biais de formations plus récentes, et regroupant des analystes de cursus tout à fait différents, qui ont pour objectif davantage la recherche : C'est le cas, semble-t-il, pour le Collège de Psychanalyse, dont la création date de 1979. (E1 et E2).

4/ Les vrais clivages, certes, demeurent entre des positons ou des systèmes de représentations antinomiques, telles les conceptions freudo-lacaninnes et jungiennes. En effet, tous les représentants des premières (sauf A4) qui ne parle pas de Jung et (B2, 3) plus ambivalente, nuancée dans ses opinions portent un jugement dépréciatif sur la théorie jungienne, voire sur la personne de Jung.

_"Je trouve que la lecture de Jung, déjà, est très peu intéressante, dit (A1,16). Il fait référence aussi à un article où Jung passe pour psychotique. "Je ne considère pas la théorie jungienne du tout. Mais il est inévitable qu'elle porte la trace de la personnalité du créateur qui était, justement, particulièrement concerné par les choses étranges (... ). Je crois que chez les Jungiens vous trouverez beaucoup plus d'échos à vos interrogations con­cernant la télépathie, l'étrange, le paranormal.... C'est leur domaine", précise (A2,8, 13).

_"En ce qui concerne les Jungiens, je pense,si l'on en juge d'après Jung (je connais mal Jung), je pense qu' ils sont beaucoup plus perméables à cette dimesion et je craindrais, moi, qu'ils la fassent, justement, tomber dans la mystique" (...), dit (A3,22).

_"Jung! mais ce n'est pas un psychanalyste ! (.. . ). Bien non ! Puisque la psy­chanalyse, c'est la mise en place du terme "libido". Avec ce que ça veut dire. Et Freud n'a jamais ... Bon ! La mise en place par Freud soi-même de ce terme là : "J'intitule, etc. . . " A partir du moment où Jung a fait une psychologie...; d'ailleurs, il ne lui a pas donné de nom à sa psychologie “, dit (B1, 12) ; toutefois, elle rappelle que c'est Jung qui a dénommé la Psychanalyse : "D'ailleurs, c'est curieusement lui qui a donné lieu au terme "psychanalyse". Parce que c'était la "Psycho-Analyse". Et c'est resté en Angleterre et en Allemagne. C'est lui qui a contracté le terme en "psychanalyse".

_"Parce que la différence qu'il y a, par exemple, entre la psychanalyse et Jung – et les gens qui fonctionnent sur ce mode-là - , de l'interprétation symbolique d'un Inconscient qui n'a rien de freudien, c'est l’idée que, quand même, tout peut se ramener à du signifiant. Tout se ramène à des mots, en dernière instance (.. . ) . Autrement dit, on ne peut pas parler de psychanalyse à propos de Jung : Puisque c'est "le thérapeute qui sait". Jung l’a généralisée, mais au détriment du sujet" (B3,16,18).

_"Je n'appellerais pas ça "mystique" : Ca participe du délire, de l'halluci­nation. . . (. . .).C'est possible… Mais , pour moi, dire que Jung était . ..Oui, peut-être, schizophrène ou paranoïaque. .. Ca n'est pas le classer de façon psychiatrique, en tout cas", dit (B4,10) aprés hésitations.

Les freudo-lacaniens continuent, donc, de ne pas considérer Jung comme un psychanalyste à part entière, ni la conception jungienne comme psycha­nalytique.

_C'est aussi l'opinion de (E1,23) : "Jung est psychanalyste en prédicat. ( . . . ) Jung, s'il était psychanalyste en substance, il laisserait tout ça tomber ! (. . .) , dit-il.

L'image de la psychanalyse, c'est la psychanalyse freudienne.

Le milieu psychanalytique semble donc compartimenté de façon très nette : (E2,27) souligne cet aspect :    "Il faut voir comment la parapsycholo­gie, dans le groupe des disciples de Freud, est venue contenir tout ce qui était occulté de phénomènes réels ! Par rapport à un mouvement, à sa constitution, sa fonction : comment ce qui a été occulté de suicides (Tausk.. . ) a pu être attribué à des phénomènes réels . . . Comment ça fonctionne ! L'attitude de Freud au niveau des rejets. Mais ça fonctionne toujours ; J'ai appris que dans un Groupe, un groupe de travail a disparu récemment. Comment voulez-vous, après, qu'on s'intéresse à la parapsychologie ? C'est tellement terroriste, aliénant que ne supporte pas du tout l'ouverture à des phénomè­nes un petit peu étranges ! Ca ferme la porte, dirons-nous, à l' "inquiétante étrangeté" . . . , dit( E2,2 7) .

Elle ne pense pas, pour sa part, que la parapsychologie constitue une catégorie du champ analytique distincte : "Je ne pense pas que c'est une catégorie (. . . ). Parce que, soit on est très libre par rapport à tout et on s'interroge soi-même de manière intellectuelle, soit on fait partie d'un corps. . .Alors, c'est déjà tellement catégoriel ! Il y a déjà tellement de catégories dans la psychanalyse ! Je ne pense pas qu'il faille faire une catégorie à part ( ... ). Je ne vois pas ce que ça apporterait (. .. ). Moi, je n'aime pas les catégories ( ... ) . Je pense que la parapsychologie est située, déjà, dedans. Mais ça ne s'appelle pas comme ça" (E2,27-28).

Il ne lui semble donc pas nécessaire d'opérer un clivage autour du "paranormal".

_(D,33) tient le même propos. La querelle entre Freud et Jung au sujet de la nature de la libido ne lui semble pas un point théorique susceptible de générer une scission d' Ecole : "Je me demande vraiment pourquoi ils se sont... Parce qu'il n'y a pas de quoi en faire du mon­tagnes ! Disons que ça a servi à régler des querelles ... Vous savez, les analysants réconcilient très bien les deux, hein ! Il faut interpréter (que ce soit Adler, Lacan ... ) comme ça vient : Pas selon les cadres conceptuels", dit-elle.

Médecin-psychiatre de formation classique freudo-lacanienne, (D, 1), elle dit avoir traversé "une période jungienne" : "Moi, j'ai eu ma période jungienne ; plutôt après mon analyse" (D, 33).

Il semblerait qu'un continuum, donc, plutôt qu'un clivage, s'instaure entre ces doctrines apparemment opposées, freudo-lacanienne et jungienne, si l'on en croit l'exemple de (D,33).

C'est pourquoi, si institutionnellement les clivages que nous avons soul ignés (séries A et B) demeurent, il semble que ce soit dû à "la persévérancer de positions acquises", comme le dit (A2, 10) en parlant de croyances qui perdurent à travers l'histoire (F1, 5, 33 et H2, 33, expriment, en d'autres termes, le même point de vue).

Plusieurs analystes, en effet, insistent sur le "caractère stratégique", soit de l'alliance de Freud et de Jung, (F2, 13-15), soit de leur désaccord (D, 33 / E2, 27 / F1, 23-27).

(B1,12), comme nous l'avons vu, rappelait que Jung avait donné lieu à la contraction du mot Psychanalyse.

(F2, 13), lui, rappelle que Jung avait été désigné par Freud comme son successeur : "Jung, à un moment donné, a été le dauphin de Freud puisqu'il avait été chargé par lui, de prendre sa succession".

Par conséquent, il semble que les vrais clivages se situent plus entre la sensibilité/sensibilisation personnelle et la codification théo­rique adoptée dans un groupe. Les phénomènes dits paranormaux sont reconnus mais les attitudes et les positions à leur égard diffèrent : Ils sont autrisés /ou non à figurer dans le champ expérentiel personnel ou instituti­onnel : "Entre analystes, il arrive qu'on en parle, entre collègues.. (...) de phénomènes étranges. En général, disons que nous avons une attitude à la fois amusée, intéressée et généralement sceptique... à l'endroit des phénomènes qui  nous arrivent et qui nous laissent perplexes. Mais c'est très rare que quelqu'un ait - je dirais, une conclusion radicalement en faveur de la transmission de pensée ou contre. Nous laissons cela en suspens..” , dit (A3, 1). A la fin de l'entretien, elle rapporte également une anec­dote survenue à un collègue qui est resté, dit-elle, "très bienveillant" ( . . . ) , à l'égard de cette chose ! (Rire). D'autres collègues à qui des histoires semblables sont arrivées en racontent. Je vous dis, on en parle de temps en temps..." (A3,28).

Aucune appréhension théorique systémique n'est entreprise. Les anec­dotes restent verbales ou personnelles, l'intérêt porté, "égoïste" (A2, 19).

_Chez les Lacaniens, si l’on en croit (B1, 18), l'indifférence totale est de mise face aux phénomènes dits paranormaux : "Les principales émanations, c'étaient les "Membres du Directoire de l'Ecole Freudienne" qui, depuis, se sont tapés dessus ... (. . .) . Nous , on tourne en cartels , mais hors constitution. On travaille hors institution. Car qu'est-ce que ça veut dire (... ).Toutes ces institutions là, voyez-vous, je ne pense pas qu'elle soient très "branchées" sur les phénomènes extraordinaires ou "accrochées" par eux...", A l'intérieur de cette formation, effectivement, aucun(e) analyste ne relate d'exemples de phénomènes dits paranornnaux qui leur soient arrivés personnellement et/ou impersonnellement. (B2, 8-11, elle, théorise ces phénomènes dans le cadre du transfert/contre-transfert, uniquement).

Nous avons dit plus haut que, selon la doctrine de J.Lacan, le langage seul prirne : "Evidemment, si l'on pense que tout passe par le langage, on est obligé de nier toute cette dimension qui, à moi, me parait tout à fait importante", dit (A3,21), à propos de l'extra-verbal et de la téfépathie. "Eh! bien, oui. Alors, comme pour nous le langage, c'est la clé. . .", confirme (B1,4).

_(C,3-4) a toujours porlé un intérêt personnel aux phénomènes dits pananormaux, mais opéré un clivage dans sa pratique analytique : "Moi, je disais simplement que ce n'est pas quelque chose - cela - du domaine de la psychanalyse que j'étais en train de faire. Je ne disais pas : "C'est impossible". Je n'avais pas une attitude. . . Là, alors, c'est mon caractère personnel. . . Mais je n'avais pas une atttitude de refus de cela. Je l’acceptais, tout en disant : "Le psychanalyste, de cela, ne peut rien faire, " n'est-ce pas? Ce n'est pas le sens de l'analyse. Et je crois d'ailleurs que c'est vrai", dit- elle.

Enfin, (F1, 5-6) expose peut-être le plus clairement la situation :

"Je ne parle pas seulement des praticiens. Mais des gens en général. L'ex­périence montre qu'ils recueillent toujours des phénomènes mais qu'ils le "mettent de côté"... A plus forte raison, à partir du moment où on commence à travailler comme analyste. Et même les neuropsychiatres qui y sont un peu ouverts, ou qui font attention à ce qui se passe d'un point de vue phénoménologique. Qui font attention à des faits ! Non pas à des théories, Soit ils constatent des choses, qu' ils ne peuvent pas expliquer - et à ce moment là, ils s'empressent de les oublier, parce que ça les gêne et qu'il est très gênant d'être gêné quand on veut être sûr de soi -  ou bien alors il se posent des questions, tâchent d'aller chercher un peu plus loin... Là aussi, ça fait deux domaines pour eux. C'est-à-dire qu' il y a le domaine parapsychologique (où on fait rentrer un tas de petites choses amusantes) et puis un travail sérieux - leur travail professionnel. Ou bien, ils essaient de se poser des questions et de faire se rencontrer les deux univers. Ce qui est plus créateur. Car je ne vois pas tout à fait comment dans le domaine psychologique large, on peut découper les êtres en rondelles" dit-il.

_(I, 19-20) fait état du même clivage (p.23) entre l'attitude person­nelle et la théorie affichée au public : "Il n'y a pas de position très officielle. Il y a des gens qui ont des opinions très variées. Il faut distinguer ce qui est publié de ce qui est dit. C'est vrai pour les psychanalystes et les physiciens . (... ). Leur position en privé est très différente de celle qu'ils affichent en/au public. C'est-à-dire qu'en privé ils accepteront assez facilement de considérer des faits dans leur interprétation parapsychologique. Dans leur vie professionnelle de scientifiques reconnus, dans leurs publications, ils éviteront tout à fait d'aborder ces su jets, indiquant que ce serait dangereux pour leur avenir, leur carrière", dit-il.

Un dernier clivage semble intervenuir entre la psychanalyse et la psychiatrie, induisant un clivage théorique, (A4,1-3 / F3,1-2).

_(C, 7) , en effet, pense que les catégories nosographiques ne sont pas identiques pour les deux spécialités : "Ce que nous avons, en psy­chiatrie, ce sont les "délires d'influence"". Mais ces délires, du point de vue psychanalytique... Il faut essayer de les faire entrer dans une autre catégorie, éventuellement" , dit-elle à propos des phénomènes dits télépathiques de "transmission de pensée (s) " . (F1, 32, neuropsychiatre également de formation, partage cet avis).

Ce n' est pas l'opinion, toutefois, de plusieurs analystes, tels (A2, 12 / B1, 2, 10, 13 / B3, 5-6, 11-12 / E2, 12).

Outre la diversité des "structures personnelles", comme le dit (A4, 16), les clivages nous semblent aussi institutionnels. Terminons par ces propos de (F1, 5 ; 33) : "Les Lacaniens ou les Freudiens "récitent" très bien Freud. Les Jungiens "récitent" très bien Jung. On a l'impression qu'ils ont leurs manies. Quelquefois, vous "récitez à côté" : sans "délirer", au sens clinique du terme, pour autant.(...). C'est le problème du écoles analytiques. Qui dit "Ecole" ... Tout groupe reproduit ce qu'on lui a appris. ( ... ) . Ce qui est très sécurisant."


CATEGORISATION ET HIERARCHISATION PAR IMPORTANCE REPRESENTATIVE

A1 – Membre titulaire

A2 – Membre titulaire

A3 – Membre titulaire

A4 – Membre affilié

SOCIETE FRANCAISE DE PSYCHANALYSE (INSTITUT DE PSYCHANALYSE)

FREUDIENS ORTHODOXES

ECOLES

 FREUDO-LACANIENNES

B1 – ex ECOLE FREUDIENNE de PARIS (E.F.P)
travaille en cartels hors institution (B1,17-18)

B2 – ex ECOLE FREUDIENNE de PARIS (E.F.P)
Suit des séminaires et travaille en groupe inter-Ecoles : tendance Kleinienne (B2,3)

B3 – ECOLE DE LA CAUSE FREUDIENNE (E.C.F)
Membre associé

B4 – ASSOCIATION FREUDIENNE (A.F)

 

ECOLES LACANIENNES

C – ex SOCIETE FRANCAISE de PSYCHANANLYSE

-          ASSOCIATION PSYCHANALYTIQUE DE France (A.P.F)

-          Tendance Wladimir Granoff

 

D – Médecin-psychiatre : formation freudo-lacanienne

-          ex-membre du G.E.R.P

-          spécialiste des sujets-psi

 

E1 – ex SOCIETE FRANCAISE  de PSYCHANALYSE

-          Membre titulaire

-          ex ECOLE FREUDIENNE DE PARIS (E.F.P)

-          Analyste didacticien de l’Ecole

-          CENTRE DE FORMATION et de RECHERCHE PSYCHANALYTIQUE

-          COLLEGE DE PSYCHANALYSE

-          « inscription parmi des gens qui n’ont pas la même formation ou gardant aussi l’anonymat » (E1,1)

 

E2 – ex IV° GROUPE

-          COLLEGE DE PSYCHANALYSE

-          Assistante sociale de formation

-          Professeur d’enseignement social

-          Psychologue

Travaille avec Maria Torok (E2,24,30)

   

F1 – ASSOCIATION INTERNATIONALE de PSYCHOLOGIE-ANALYTIQUE (A.I.P.A)

-          Affiliation directe à Zurich (contrôles avec Marie-Louise von Franz, assistante de Jung, (F1, 3, 26)

-          Ex- membre du G.E.R.P

F2 – ASSOCIATION FRANCAISE de PSYCHOLOGIE-ANALYTIQUE (A.F.P.A)

-          Enseignant dans cette formation

F3 – ASSOCIATION FRANCAISE de PSYCHOLOGIE-ANALYTIQUE (A.F.P.A)

-          Analyste didacticienne dans cette formation

F4 – ASSOCIATION FRANCAISE de PSYCHOLOGIE-ANALYTIQUE (A.F.P.A)

-          Analyste didacticien dans cette formation

-          Traducteur de l’edition italienne de l’œuvre de Jung

 

ECOLES

JUNG I ENNES

G – ex ASSOCIATION FRANCAISE de PSYCHOLOGIE-ANALYTIQUE (A.F.P.A)

-          Physicien enseignant à l’Université

-          Analyste libre

 

H1 – INSTITUT WILHELM REICH

-          Membre associé de cette formation

H2 – ex - INSTITUT WILHELM REICH

-          Bio-énergéticien – tendance J. Fliss

-          Chercheur attaché à l’INSA et à l’ENS

 

ECOLES     

                    REICHIENNES

I – Médecin psychiatre/psychothérapeute

-          Technique du REVE EVEILLE DIRIGE (G.I.R.E.P)

-          METHODE TOMATIS

-          Inventeur d’un instrument pour mesurer la télépathie (I,3-5)

-          Approche statistique (I, 6)

   

 

Plan