REPRESENTATION DU PARANORMAL ET DE LA TELEPATHIE DANS LE CHAMP PSYCHANALYTIQUE (suite)

Marie-Christine Combourieu – 1985

III – A N N E X E S

 


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[1] B. d'Espagnat : A la recherche du réel, 1981- Ed. Gauthiers-Villars.

[2] Il nous a semblé pertinent de rapprocher le concept d'archétype (s) de celui “d’organisateur (s) psychique (s)”, s elon René Kaës (in L'idéologie, études psychanalytiques , Paris , Dunod, 1976, ou Les savoirs dam les pratiques quotidiennes, article p. 373-396 . "Le travail de la représentation et les fonctions de l'intermédiaire, étude psychanalytique" ; voir plus précis ément p. 392-394 :

 "Les organisateurs que je qualifie de psychiques correspondent à une forma­tion inconsciente proche du noyau imagé du rêve", décrit R. Kaës. Il distingue des "organisateurs endopsychiques”, "groupaux", et « socio-culturels" (qu'il appelle encore "sociétaux") :"Il est probable que les organisateurs psychiques et socio-culturels marquent certains stades critiques dans le développement de la personnalité et de la société, qu'ils révèlent des niveaux d'intégration que des schèmes spécifiques de représentation (Spitz parlerait d'indicateurs du comportement) permettraient d'identifier. Toutefois ma conception de l'organisateur met moins l'accent sur cet aspect génétique que sur la dimension de la structure et de la fonction structurante de l'organisateur", dit-il à propos de ces représentations structurant et codifiant à la fois notre réel symbolique.

 

[3] Actuel, mensuel n° 64, février 1985, dossier p. 118-124 ; 132.

[4]  _(D, 37) évoque le point de vue neuro-biologique : La peau renfermerait  "comme une immense antenne", croyait-on. Cette hypothèse est abandonnée au profit  de la recherche des récepteurs dans le cerveau.

 

[5] Ki,en japonais, signifie "énergie vitale" (voir Actuel, fév. 1985, n°64, p. 119.

 

[6] Psychoanalysis and the occult , 1953, New-York, Int. Univ., 2è Ed., 1970 ?

 

[7] Est-ce parce que J. Lacan n'accorde pas un statut privilégié aux "images comme constitutives, ontologiquement, de l'univers ?, (E1, 3).

 

[8] Voici, la définition que (B4,4-5) donne du "réel". " (Ca n'est pas) du tout "para” -normal. Nous partageons nécessairement analysant et analyste, un même réel, avec tout ce que ce réel a d'impossible à être dit entièrement. ( ... ). Il est là, par moments, en images ou en mots, qui d'un côté se disent et de l'autre seront présents dans ma bouche. ( ... ). Le réel : cette masse de sensations, de sentiments , d'affects qui sont à la fois redoutés, présents, perdus ... Que l'on tente de trouver par les mots , justement, ou par l' écriture . Oui "

"- Bien sur qu'il y a, au bout de tout cela, une question absolument sans réponse", dit-elle encore, (B4, 6).

[9] Nous avons vu que : (A3 / D / F1 / F2 / H1 / H2 / I) en revanche, ad­mettent l'existence de phénomènes télépathiques sans support matériel ni corporel .

 

[10] 1979, à Cordoue. Ce colloque avait pour objectif une tentative de réconciliation des

[11] "Le principe d’indétermination d'Heisenberg établit  que l'on ne peut pas à la fois constater une expérience et se mettre hors du circuit, être parfaitement objectif (F1,8), ni localiser une particule, au niveau infra-atomique, en même temps qu’on la repère, mais des champs de probabilité.

[12] "(…) Je vous dit tout de suite que le rêve n'a en somme que peu de rapports avec la télépathie", dit Freud, dans Rêve et occultisme, p. 51.